Jean-Luc Martin Lagardette est le rédacteur en chef du magazine ouvertures.net. Il enseigne la déontologie journalistique à l'Ecole des métiers de l'information et à l'Ecole Supérieure de Journalisme de Lille. Il a initié en juillet 2007 le "co-journalisme" sur Agoravox. Il a aussi créé, avec Yves Agnès, ancien rédacteur en chef du Monde et qui en est le président, l’Association de préfiguration d’un Conseil de presse (APCP - //apcp.unblog.fr), pour la création en France d’une instance de régulation et de médiation entre la presse et le public.
Dans l'article qui suit, il porte un regard dissident sur le procès qui s'est déroulé récemment :
Je sais bien que mon discours risque de choquer, tant la scientologie est considérée dans notre beau pays de « libertés » comme une « secte » dangereuse qu´il faut à tous prix empêcher d´exister. La simple évocation de son nom provoque la haine, le rejet, la peur chez beaucoup de gens.
Il faut croire que personne ne réfléchit beaucoup ici, que les faits ont beaucoup moins d’importance que les croyances ou les sentiments.
Car, partant du récent verdict et de sa confirmation en appel, on est en droit de se poser quelques questions de bon sens. Par exemple, quand on fait un procès, en général, c’est qu’on s’estime victime d’un préjudice. Or, dans ces deux affaires, le procès et son appel, il n’y a pas de victime, ni présumée ni reconnue, de la scientologie...
Suite de l'article
Dans l'article qui suit, il porte un regard dissident sur le procès qui s'est déroulé récemment :
Je sais bien que mon discours risque de choquer, tant la scientologie est considérée dans notre beau pays de « libertés » comme une « secte » dangereuse qu´il faut à tous prix empêcher d´exister. La simple évocation de son nom provoque la haine, le rejet, la peur chez beaucoup de gens.
Il faut croire que personne ne réfléchit beaucoup ici, que les faits ont beaucoup moins d’importance que les croyances ou les sentiments.
Car, partant du récent verdict et de sa confirmation en appel, on est en droit de se poser quelques questions de bon sens. Par exemple, quand on fait un procès, en général, c’est qu’on s’estime victime d’un préjudice. Or, dans ces deux affaires, le procès et son appel, il n’y a pas de victime, ni présumée ni reconnue, de la scientologie...
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