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Le blog
Eric Roux
Ministre du culte de L'Eglise de Scientology, après 30 années passées dans le clergé de l'Eglise, Eric Roux est aujourd'hui le président de l'Union des Eglises de Scientology de France et Vice Président du Bureau Européen de L'Eglise de Scientology pour les affaires publiques et les droits de l'homme. Il est aussi Président élu du Conseil International de URI (United Religions Initiative) et le Président du European Interreligious Forum for Religious Freedom.
Ce blog est une initiative personnelle destinée aux gens qui s'intéressent à la spiritualité, ou à ceux qui souhaitent en apprendre plus sur la scientology, à ceux qui pensent que la liberté de conscience est un droit fondamental qui mérite d'être défendu, à mes coreligionnaires ou encore à ceux qui sont curieux...
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Le dernier numéro du Journal of CESNUR (numéro 2 du Volume 2) est entièrement consacré à la scientologie.
Le Journal of CESNUR est une revue scientifique à comité de lecture qui traite des nouvelles religions. Y participent des sociologues, des historiens, des juristes, etc.
Tous les textes du numéro (en anglais) sont bons. Il contient notamment une étude extrêmement intéressante sur la scientologie et les arts visuels par le professeur Massimo Introvigne : "L'effort Humain le plus mal compris : L. Ron Hubbard, la Scientologie et les Beaux-Arts ". Les derniers mots de sa conclusion sont les suivants : "La scientologie reste un gnosticisme moderne, et l'offre de Hubbard est celle d'une technologie religieuse qui, correctement appliquée, produirait infailliblement le bonheur pour les individus et le monde, ainsi que la beauté et une communication efficace à travers l'art."
Vous trouverez aussi le texte de Luigi Berzano "La Scientologie est elle une Religion ?", et d'autres tout aussi intéressants.
A noter le supplement en français, une étude de 57 pages par le professeur de droit à la Sorbonne Frédéric-Jérome Pansier, qui répond à 4 questions :
1. La Scientologie est-elle une religion ?
2. Les pratiques religieuses de l’Église de Scientologie, notamment l’audition et la formation, doivent-elles être considérées comme des services religieux cultuels au sens de la loi de 1905 ?
3. Les églises de Scientologie doivent-elles être considérées comme des lieux de culte au sens de la loi de 1905 ?
4. Les membres permanents des Églises de Scientologie doivent-ils être considérés comme les membres d’un clergé, d’une collectivité religieuse et comme des ministres du culte ?
Bonne lecture !
Le Journal of CESNUR est une revue scientifique à comité de lecture qui traite des nouvelles religions. Y participent des sociologues, des historiens, des juristes, etc.
Tous les textes du numéro (en anglais) sont bons. Il contient notamment une étude extrêmement intéressante sur la scientologie et les arts visuels par le professeur Massimo Introvigne : "L'effort Humain le plus mal compris : L. Ron Hubbard, la Scientologie et les Beaux-Arts ". Les derniers mots de sa conclusion sont les suivants : "La scientologie reste un gnosticisme moderne, et l'offre de Hubbard est celle d'une technologie religieuse qui, correctement appliquée, produirait infailliblement le bonheur pour les individus et le monde, ainsi que la beauté et une communication efficace à travers l'art."
Vous trouverez aussi le texte de Luigi Berzano "La Scientologie est elle une Religion ?", et d'autres tout aussi intéressants.
A noter le supplement en français, une étude de 57 pages par le professeur de droit à la Sorbonne Frédéric-Jérome Pansier, qui répond à 4 questions :
1. La Scientologie est-elle une religion ?
2. Les pratiques religieuses de l’Église de Scientologie, notamment l’audition et la formation, doivent-elles être considérées comme des services religieux cultuels au sens de la loi de 1905 ?
3. Les églises de Scientologie doivent-elles être considérées comme des lieux de culte au sens de la loi de 1905 ?
4. Les membres permanents des Églises de Scientologie doivent-ils être considérés comme les membres d’un clergé, d’une collectivité religieuse et comme des ministres du culte ?
Bonne lecture !
Eric Roux
Le 25 janvier 2017, la Faculté d'étude comparative des religions d'Anvers a publié un ouvrage de 284 pages entièrement consacré à la scientologie.
Il s'agit d'un ouvrage bilingue (anglais/français), composé d'articles d'éminents universitaires venus des USA, de France, d'Italie, de Belgique et d'Australie. Les articles couvrent des sujets aussi divers qu'une comparaison entre la scientologie et le gnosticisme, une étude de cas de l'histoire intellectuelle de la scientologie à travers certains de ses "sites sacrés", une recherche sur l'identité juridique de l'Eglise de scientologie, et d'autres thèmes liés à divers aspects de cette religion.
Ici vous avez la postface de l’ouvrage en français, par votre serviteur.
POSTFACE
Eric Roux
Ecrire la postface d’un ouvrage comme celui-ci est un honneur, mais aussi un exercice difficile. En effet, comment commenter ces articles écrits par des hommes et femmes dont la compétence d’experts n’est plus à démontrer, sans les paraphraser et sans risquer de déformer leur pensée ou de se méprendre sur le contenu de leurs études, lorsqu’on n’appartient pas au monde universitaire.
En outre, il existe un inhérent fossé entre celui qui étudie une religion de l’extérieur, à l’aide d’outils d’analyse appartenant à une discipline qui lui est propre, et celui qui a épousé cette religion, et qui l’étudie du point de vue du pratiquant. On pourrait imaginer que le second manque de recul, et que sa vision de l’intérieur mène forcément à une carence de distance entre lui et le sujet étudié. Mais le second pourrait aussi imaginer que le premier ne comprend pas vraiment, faute d’avoir sincèrement pratiqué et expérimenté subjectivement les effets de la pratique.
Quoi qu’il en soit, ce fossé ne doit pas empêcher le dialogue de s’instaurer entre le pratiquant et l’universitaire non pratiquant, car c’est de ce dialogue que peut naître une vision plus juste de ce qu’est une religion, et que ces deux approches, nécessairement distinctes, peuvent s’harmoniser ou tout au moins se compléter et peut-être apporter un peu plus de vérité sur les sujets les plus difficiles à appréhender, dont celui de la Scientologie fait partie. Sa difficile appréhension provient du fait qu’elle est nouvelle, certes, mais aussi certainement du fait de l’ensemble des controverses qui ont entouré sa naissance dans les années 50, et qui ont perduré dans ses années de jeunesse, années de jeunesse qui se poursuivent encore actuellement. J’ai toujours trouvé qu’il était difficile pour un universitaire de s’extraire des controverses médiatiques, même si c’est justement cette faculté d’extraction qui fait d’un scientifique ce qu’il est, ou devrait être en tous cas. J’ajouterais pour compléter mon propos que cette difficulté d’appréhension trouve aussi sa source dans le fait que la pensée de Ron Hubbard est extrêmement riche, pas seulement du point de vue de sa qualité, mais aussi de sa quantité. C’est-à-dire pour faire simple et court qu’on ne peut se contenter d’étudier deux ou trois ouvrages pour comprendre la scientologie dont les textes sacrés se comptent en centaines de milliers de pages. Se lancer dans son étude demande courage, temps, efforts et ouverture, et le pratiquant que je suis ne peut qu’admirer le travail accompli par ces chercheurs désintéressés auxquels l’humanité devra un jour rendre hommage, car leur vision participe de la progression du monde vers une connaissance bienveillante des religions de la terre.
Avant de me permettre un nombre limité de commentaires sur les différents articles de cet ouvrage audacieux, je dois dire que j’ai été globalement impressionné par la qualité des recherches effectuées par les auteurs, et l’intelligence avec laquelle ils ont cherché à comprendre et à retranscrire les aspects de la scientologie qu’ils traitaient. Aucun des commentaires qui suivent ne devra être compris comme une critique globale des articles commentés, car ils n’en sont pas. Je vais, dans les lignes qui suivent, me contenter d’essayer d’apporter quelques lueurs, si tant est qu’elles soient nécessaires, dans les zones qui m’ont semblé le moins éclairées de cet ouvrage pourtant clair autant qu’éclairant.
*
L’histoire de Philipp Bennet Wearne, dont Bernard Doherty tire des conclusions intéressantes, m’a semblé extrêmement représentative des nombreuses occurrences où l’interaction entre un ou des apostats et des services secrets nationaux ou des entités gouvernementales diverses, ont mené à des cabales plus ou moins réussies contre l’Église de Scientologie dans le monde. Le schéma australien ainsi dépeint se retrouve, pour autant que je sache, dans l’histoire de la scientologie, partout sur le globe. De la Russie aux États-Unis, de la France à l’Allemagne en passant par la Belgique, de l’Afrique du Sud au Royaume-Uni, cette étude pourrait être reproduite et certainement on gagnerait à voir ainsi émerger un dessin commun, un « pattern » qui mènerait à des conclusions encore plus générales sur la guerre que certaines institutions ont menée contre la scientologie. Même si cette guerre s’est éteinte aujourd’hui dans nombre de ces pays, le schéma est révélateur des intérêts en jeu. Plus précisément en ce qui concerne les apostats et la manière dont leur discours est utilisé dans cette activité belligérante, j’ai noté avec intérêt la phrase suivante : « Cette histoire de “captivité” de Wearne, comme celle d’autres apostats plus contemporains, est faite sur mesure pour ses lecteurs, et les éléments qu’il souligne varient en fonction des personnes à qui il s’adresse. » Cela correspond effectivement à l’expérience personnelle que j’ai de ces apostats en quête de vengeance, et qu’au fil des années j’ai finalement retrouvée dans nombre de campagnes orchestrées contre mon Eglise, mais aussi contre d’autres Eglises dont certaines sont tout à fait « mainstream ». Enfin je rejoins Doherty lorsqu’il formule le souhait de voir apparaître d’autres travaux détaillant la micro-histoire de cas similaires, et j’ajoute qu’à partir de ces micro-histoires, on pourrait certainement découvrir la macro-histoire des attaques contre la scientologie, mais également comprendre le schéma des campagnes visant à plus de contrôle social non seulement des nouvelles religions, mais en fait de toutes les religions, voire de tous les mouvements de pensée qui sont considérés par certains comme un risque pour le statu quo.
Lire la suite sur Academia.edu
Ici vous avez la postface de l’ouvrage en français, par votre serviteur.
POSTFACE
Eric Roux
Ecrire la postface d’un ouvrage comme celui-ci est un honneur, mais aussi un exercice difficile. En effet, comment commenter ces articles écrits par des hommes et femmes dont la compétence d’experts n’est plus à démontrer, sans les paraphraser et sans risquer de déformer leur pensée ou de se méprendre sur le contenu de leurs études, lorsqu’on n’appartient pas au monde universitaire.
En outre, il existe un inhérent fossé entre celui qui étudie une religion de l’extérieur, à l’aide d’outils d’analyse appartenant à une discipline qui lui est propre, et celui qui a épousé cette religion, et qui l’étudie du point de vue du pratiquant. On pourrait imaginer que le second manque de recul, et que sa vision de l’intérieur mène forcément à une carence de distance entre lui et le sujet étudié. Mais le second pourrait aussi imaginer que le premier ne comprend pas vraiment, faute d’avoir sincèrement pratiqué et expérimenté subjectivement les effets de la pratique.
Quoi qu’il en soit, ce fossé ne doit pas empêcher le dialogue de s’instaurer entre le pratiquant et l’universitaire non pratiquant, car c’est de ce dialogue que peut naître une vision plus juste de ce qu’est une religion, et que ces deux approches, nécessairement distinctes, peuvent s’harmoniser ou tout au moins se compléter et peut-être apporter un peu plus de vérité sur les sujets les plus difficiles à appréhender, dont celui de la Scientologie fait partie. Sa difficile appréhension provient du fait qu’elle est nouvelle, certes, mais aussi certainement du fait de l’ensemble des controverses qui ont entouré sa naissance dans les années 50, et qui ont perduré dans ses années de jeunesse, années de jeunesse qui se poursuivent encore actuellement. J’ai toujours trouvé qu’il était difficile pour un universitaire de s’extraire des controverses médiatiques, même si c’est justement cette faculté d’extraction qui fait d’un scientifique ce qu’il est, ou devrait être en tous cas. J’ajouterais pour compléter mon propos que cette difficulté d’appréhension trouve aussi sa source dans le fait que la pensée de Ron Hubbard est extrêmement riche, pas seulement du point de vue de sa qualité, mais aussi de sa quantité. C’est-à-dire pour faire simple et court qu’on ne peut se contenter d’étudier deux ou trois ouvrages pour comprendre la scientologie dont les textes sacrés se comptent en centaines de milliers de pages. Se lancer dans son étude demande courage, temps, efforts et ouverture, et le pratiquant que je suis ne peut qu’admirer le travail accompli par ces chercheurs désintéressés auxquels l’humanité devra un jour rendre hommage, car leur vision participe de la progression du monde vers une connaissance bienveillante des religions de la terre.
Avant de me permettre un nombre limité de commentaires sur les différents articles de cet ouvrage audacieux, je dois dire que j’ai été globalement impressionné par la qualité des recherches effectuées par les auteurs, et l’intelligence avec laquelle ils ont cherché à comprendre et à retranscrire les aspects de la scientologie qu’ils traitaient. Aucun des commentaires qui suivent ne devra être compris comme une critique globale des articles commentés, car ils n’en sont pas. Je vais, dans les lignes qui suivent, me contenter d’essayer d’apporter quelques lueurs, si tant est qu’elles soient nécessaires, dans les zones qui m’ont semblé le moins éclairées de cet ouvrage pourtant clair autant qu’éclairant.
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L’histoire de Philipp Bennet Wearne, dont Bernard Doherty tire des conclusions intéressantes, m’a semblé extrêmement représentative des nombreuses occurrences où l’interaction entre un ou des apostats et des services secrets nationaux ou des entités gouvernementales diverses, ont mené à des cabales plus ou moins réussies contre l’Église de Scientologie dans le monde. Le schéma australien ainsi dépeint se retrouve, pour autant que je sache, dans l’histoire de la scientologie, partout sur le globe. De la Russie aux États-Unis, de la France à l’Allemagne en passant par la Belgique, de l’Afrique du Sud au Royaume-Uni, cette étude pourrait être reproduite et certainement on gagnerait à voir ainsi émerger un dessin commun, un « pattern » qui mènerait à des conclusions encore plus générales sur la guerre que certaines institutions ont menée contre la scientologie. Même si cette guerre s’est éteinte aujourd’hui dans nombre de ces pays, le schéma est révélateur des intérêts en jeu. Plus précisément en ce qui concerne les apostats et la manière dont leur discours est utilisé dans cette activité belligérante, j’ai noté avec intérêt la phrase suivante : « Cette histoire de “captivité” de Wearne, comme celle d’autres apostats plus contemporains, est faite sur mesure pour ses lecteurs, et les éléments qu’il souligne varient en fonction des personnes à qui il s’adresse. » Cela correspond effectivement à l’expérience personnelle que j’ai de ces apostats en quête de vengeance, et qu’au fil des années j’ai finalement retrouvée dans nombre de campagnes orchestrées contre mon Eglise, mais aussi contre d’autres Eglises dont certaines sont tout à fait « mainstream ». Enfin je rejoins Doherty lorsqu’il formule le souhait de voir apparaître d’autres travaux détaillant la micro-histoire de cas similaires, et j’ajoute qu’à partir de ces micro-histoires, on pourrait certainement découvrir la macro-histoire des attaques contre la scientologie, mais également comprendre le schéma des campagnes visant à plus de contrôle social non seulement des nouvelles religions, mais en fait de toutes les religions, voire de tous les mouvements de pensée qui sont considérés par certains comme un risque pour le statu quo.
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Le Rabbin Michaël Shevack est un rabbin ordonné en 1995 à New York. Il est professeur de religion comparée à l'Université d'Etat de New York. Il parle ici de la scientologie et de son fondateur, L. Ron Hubbard, après l'ouverture de la nouvelle Eglise de scientologie de Harlem.
Pour l'instant pour les anglophones :
12/05/2014
Hier, j'étais invité à participer à une conférence interreligieuse organisée par l'Association Musulmane Ahmadiyya de France dans la ville d'Epernay, en Champagne.
Le thème choisi était "L'amour de la patrie fait-il partie de la foi". Différents intervenants ont développé sur ce thème, du point de vue de leur foi, ou, pour le sociologue Romain Sèze, spécialiste de l'Islam, du point de vue de la sociologie.
Voici le texte de mon intervention (bien que lors de mon intervention, je me sois éloigné du texte, le sens général était sensiblement le même) :
Voici le texte de mon intervention (bien que lors de mon intervention, je me sois éloigné du texte, le sens général était sensiblement le même) :
27/12/2012
06/07/2012
En ces temps parfois troublés, il n'est pas inutile de rappeler que le mariage est un acte de joie, de bonheur partagé. J'ai souvent le plaisir d'en célébrer. Et j'adore ça.
Dans le dernier mariage que j'ai célébré au Celebrity Centre, il y a deux semaines (voir photos), il y avait dans la salle, en plus de la famille et des amis des mariés, un sociologue présent qui fait actuellement une étude sur la scientologie. A la fin de la cérémonie, il est venu me voir pour me donner ses impressions. La première, et c'est celle que j'ai trouvé la plus importante, était qu'il avait été ému. Vous me direz, c'est un peu normal pour un mariage. Mais bon, lorsqu'on fait une étude, même si c'est une étude en sciences "humaines", on n'est pas obligé de ressentir l'émotion liée à des actes qui ne nous engagent pas personnellement. Au delà de cela, la spontanéité de la cérémonie, et l'humour joyeux avec lequel elle se déroule l'ont aussi marqué, m'a-t-il dit.
Voici le texte de l'une des cérémonies de mariage célébrées en scientologie :
Voici le texte de l'une des cérémonies de mariage célébrées en scientologie :
23/08/2010
16/08/2009
Texte de L. Ron Hubbard de 1954 qui présente l'Eglise à ceux qui ne la connaissent pas.
« L'Eglise de Scientologie est complètement ouverte et n'est en rien limitée à une seule confession. L'adhésion à l'Eglise ne requiert rien de plus qu'une croyance en son credo et une volonté d'aider son prochain à s'améliorer et à atteindre de plus hauts niveaux de conscience. On trouve parmi les membres de l'Eglise de Scientologie une variété de confessions et de croyances, auxquelles ceux-ci continuent à adhérer.
07/06/2009
Un des textes fondamentaux de L.Ron Hubbard et de la religion de scientologie.
28/02/2009
Les scientologues sont régulièrement interrogés sur ce qu'est réellement la scientologie. J'ai moi-même été souvent sollicité pour fournir plusieurs descriptions, tentant en quelques mots de décrire un sujet pourtant très vaste. Ici, j'ai choisi de vous faire partager quelques mots écrits par L. Ron Hubbard.
Scientologie : Une nouvelle Optique sur la Vie
Extraits du Livre "Scientologie : une Nouvelle Optique sur la Vie "
LA SCIENTOLOGIE EST LA SCIENCE qui consiste à savoir comment savoir les réponses. C'est un système organisé d'axiomes et de procédés qui résolvent les problèmes de l'existence. Un scientologue est un spécialiste du domaine spirituel et humain.
La Scientologie est organisée du point de vue de l'esprit, elle contient une définition précise et utilisable de l'esprit ; elle explore, elle étudie et est capable de changer le comportement de l'esprit. La Scientologie prend naissance dans la tradition d'une philosophie religieuse vieille de dix mille ans, et elle se considère comme l'aboutissement des recherches commencées avec les Veda, le Tao, le bouddhisme, le christianisme et d'autres religions. La Scientologie est une croyance gnostique dans le sens où elle sait qu'elle sait. C'est la caractéristique qui la distingue de la plupart de ses prédécesseurs. La Scientologie peut démontrer qu'elle est capable d'atteindre les buts formulés pour l'homme par toutes les religions, qui sont: sagesse, bonne santé et immortalité.
En employant des méthodes spirituelles, mais aussi précises que les mathématiques, la Scientologie peut remédier à une foule de conditions fâcheuses de la vie. Les maladies et les dysfonctionnements peuvent être divisés en deux catégories générales.
Premièrement, ceux qui résultent de l'influence directe de l'esprit sur les réseaux de communication de la vie ou du corps et, deuxièmement, ceux qui sont occasionnés par des perturbations de la structure dues à des causes d'ordre purement physique.
Pour résoudre le malheur, l'incapacité à guérir et les maladies psychosomatiques (qui représentent près de 70 pour 100 des maladies de l'homme), il est préférable de s'adresser directement à l'esprit humain. Pour guérir les maladies causées par des bactéries identifiables et soigner les blessures provoquées par les accidents, il est préférable d'utiliser des moyens physiques. Ces choses relèvent clairement du domaine de la médecine et ne sont donc pas du ressort de la Scientologie, même si dans presque tous les cas, les accidents, les maladies et les infections bactériennes sont le résultat d'une prédisposition due à des troubles ou à des inquiétudes d'ordre spirituel, et les difficultés spirituelles prolongent les séquelles des accidents.
Nous avons donc le domaine de la médecine qui s'occupe des blessures immédiates, des interventions chirurgicales comme dans le cas de la naissance ou d'infections aiguës, des lésions telles que les contusions et des écorchures dues à des accidents; elle se charge également d'administrer des médicaments ou des antibiotiques pour éviter les risques de décès du patient dans les moments de crise. C'est là le rôle de la médecine.
LA SCIENTOLOGIE EST LA SCIENCE qui consiste à savoir comment savoir les réponses. C'est un système organisé d'axiomes et de procédés qui résolvent les problèmes de l'existence. Un scientologue est un spécialiste du domaine spirituel et humain.
La Scientologie est organisée du point de vue de l'esprit, elle contient une définition précise et utilisable de l'esprit ; elle explore, elle étudie et est capable de changer le comportement de l'esprit. La Scientologie prend naissance dans la tradition d'une philosophie religieuse vieille de dix mille ans, et elle se considère comme l'aboutissement des recherches commencées avec les Veda, le Tao, le bouddhisme, le christianisme et d'autres religions. La Scientologie est une croyance gnostique dans le sens où elle sait qu'elle sait. C'est la caractéristique qui la distingue de la plupart de ses prédécesseurs. La Scientologie peut démontrer qu'elle est capable d'atteindre les buts formulés pour l'homme par toutes les religions, qui sont: sagesse, bonne santé et immortalité.
En employant des méthodes spirituelles, mais aussi précises que les mathématiques, la Scientologie peut remédier à une foule de conditions fâcheuses de la vie. Les maladies et les dysfonctionnements peuvent être divisés en deux catégories générales.
Premièrement, ceux qui résultent de l'influence directe de l'esprit sur les réseaux de communication de la vie ou du corps et, deuxièmement, ceux qui sont occasionnés par des perturbations de la structure dues à des causes d'ordre purement physique.
Pour résoudre le malheur, l'incapacité à guérir et les maladies psychosomatiques (qui représentent près de 70 pour 100 des maladies de l'homme), il est préférable de s'adresser directement à l'esprit humain. Pour guérir les maladies causées par des bactéries identifiables et soigner les blessures provoquées par les accidents, il est préférable d'utiliser des moyens physiques. Ces choses relèvent clairement du domaine de la médecine et ne sont donc pas du ressort de la Scientologie, même si dans presque tous les cas, les accidents, les maladies et les infections bactériennes sont le résultat d'une prédisposition due à des troubles ou à des inquiétudes d'ordre spirituel, et les difficultés spirituelles prolongent les séquelles des accidents.
Nous avons donc le domaine de la médecine qui s'occupe des blessures immédiates, des interventions chirurgicales comme dans le cas de la naissance ou d'infections aiguës, des lésions telles que les contusions et des écorchures dues à des accidents; elle se charge également d'administrer des médicaments ou des antibiotiques pour éviter les risques de décès du patient dans les moments de crise. C'est là le rôle de la médecine.
05/02/2009
Les cérémonies de baptême en scientologie sont des cérémonies émouvantes autant qu'importantes. Quelle est leur teneur ?
J'ai souvent eu à baptiser des enfants de scientologues et c'est toujours un plaisir.
En scientologie, nous considérons le nouveau-né comme un être spirituel qui vient de prendre un nouveau corps, et nous considérons qu'il doit être traité avec tout l'amour possible afin qu'il soit dans les meilleures conditions pour aborder cette vie.
Le baptême est une cérémonie d'accueil et de reconnaissance pour l'enfant, au cours de laquelle ses parents, son parrain et sa marraine lui sont présentés. Le ministre rappelle à ceux-ci le devoir d'éducation et de soins que chacun d'eux devra prodiguer à l'enfant.
En scientologie, nous considérons le nouveau-né comme un être spirituel qui vient de prendre un nouveau corps, et nous considérons qu'il doit être traité avec tout l'amour possible afin qu'il soit dans les meilleures conditions pour aborder cette vie.
Le baptême est une cérémonie d'accueil et de reconnaissance pour l'enfant, au cours de laquelle ses parents, son parrain et sa marraine lui sont présentés. Le ministre rappelle à ceux-ci le devoir d'éducation et de soins que chacun d'eux devra prodiguer à l'enfant.
03/02/2009
C'était il y a quelques mois, Arte diffusait quelques images d'un baptême scientologue au Celebrity Centre de Paris. J'avais le plaisir d'être le ministre en charge.
11/01/2009
L'audition est une partie très importante de la pratique de la scientologie. Fondées sur les découvertes faites par Ron Hubbard au sujet du mental et des capacités de l'esprit, elle est une technologie spirituelle précise et codifiée dirigée vers un but de liberté spirituelle. Voici une vidéo de présentation sur le sujet :
Plus de vidéos sur scientologie.fr
16/12/2008
Ecrit par L. Ron Hubbard le 18 février 1954, le crédo de l'Eglise de Scientologie est celui qui est resté le notre depuis ces années de développement de notre religion, et qui le restera certainement à jamais.
Nous, membres de l’Eglise croyons :
- Que tous les hommes, quelles que soient leur race, couleur ou croyance, ont été crées avec des droits égaux ;
- Que tous les hommes ont le droit inaliénable d’exercer leurs propres pratiques religieuses ;
- Que tous les hommes ont le droit inaliénable de décider de leur propre vie ;
- Que tous les hommes ont le droit inaliénable à leur équilibre mental ;
- Que tous les hommes ont le droit inaliénable d’organiser leur propre défense ;
- Que tous les hommes ont le droit inaliénable de concevoir, choisir, assister et supporter leurs propres organisations, Eglises et gouvernements ;
- Que tous les hommes ont le droit inaliénable de penser librement, de parler librement, d’écrire librement leurs propres opinions et de se prononcer, d’écrire ou de s’élever contre les opinions des autres ;
- Que tous les hommes ont le droit inaliénable de créer leur propre espèce ;
- Que les âmes des hommes ont les droits des hommes ;
- Que l’étude du mental et la guérison des maladies d’origine mentale ne devraient pas être séparées de la religion, ni tolérées dans les domaines non religieux ;
- Et que rien de ce qui est inférieur à Dieu n’a le pouvoir de suspendre ou d'ignorer ces droits, de façon ouverte ou couverte.
Et nous, membres de l’Eglise croyons :
- Que l’homme est fondamentalement bon ;
- Qu’il s'efforce de survivre ;
- Que sa survie dépend de lui-même, de ses semblables et de son niveau d'harmonie avec l’univers.
Et nous, membres de l’Eglise croyons que les lois de Dieu interdisent à l’homme :
- De détruire sa propre espèce ;
- De détruire l'équilibre mental d'un autre ;
- De détruire ou d’asservir l’âme d’un autre ;
- De détruire ou de réduire la survie de ses compagnons ou de son groupe.
Et nous, membres de l’Eglise croyons que l’esprit peut être sauvé et que seul l’esprit peut sauver ou guérir le corps.
14/11/2008
L. Ron Hubbard, le fondateur de la Scientologie, fut un personnage hors du commun qui a fait couler beaucoup d'encre, mais surtout un homme apprécié par des millions de gens. Son histoire est simple, mais c'est aussi celle d'une vie très remplie dédiée à la recherche et aux gens.
Vous verrez dans cette rapide biographie vidéo qu'il n'est pas le type de personnage auquel on pourrait s'attendre d'un fondateur de religion. La scientologie n'a pas été développée dans une tour d'ivoire, mais bien au milieu de ce vaste terrain de jeu qu'est notre monde.
26/10/2008
Voici un texte écrit par L. Ron Hubbard qui est un fondement de l'approche de la connaissance en Scientologie. Jamais la Scientologie ne s'est positionnée en tant que dogme, car elle est faite pour augmenter l'autodétermination de l'individu quand le dogme ne ferait que la réduire. Et ce texte est l'un de mes favoris :
05/05/2007
Vous pouvez me contacter par courrier électronique à l'adresse suivante :
ericroux "at" europeanaffairs.eu (remplacer le "at" par "@")
ericroux "at" europeanaffairs.eu (remplacer le "at" par "@")
La philosophie religieuse de Scientologie
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